RÉSEAUX DE TRANSPORTS URBAINS : LE DÉFI DE LA MOBILITÉ ÉLECTRIQUE
Entre volonté politique et obligations légales, les autorités organisatrices des transports publics investissent de plus en plus dans les bus électriques.
Les lois pour la croissance verte de 2015 et d'orientation des mobilités (LOM) de 2019 ont accéléré le mouvement. Les agglomérations et métropoles qui gèrent un parc de plus de vingt autobus ou autocars pour assurer les transports réguliers de personnes doivent, depuis 2020, acquérir une part minimale de 50 % de véhicules à faibles émissions (VFE) lors du renouvellement de leur flotte. Des obligations auxquelles s'ajoute la transposition d'une directive européenne en la matière. Face à cette évolution réglementaire, nombre de réseaux de transports urbains font le choix de la mobilité électrique avec des bus zéro émission.
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