INTERDICTION DU VAPOTAGE : UNE OBLIGATION DE SIGNALISATION
La cigarette électronique est désormais répréhensible dans certains lieux publics. Depuis octobre 2017, les communes doivent mettre en place une signalétique, même s'il n'existe pas encore de panneau officiel.
Dès novembre 2013, François Digard, alors maire de Saint-Lô (Manche, 19426 habitants), interdisait par arrêté la cigarette électronique dans les « lieux publics et professionnels affectés à un usage collectif dépendant de la municipalité ». Il arguait que « la cigarette électronique n'est pas neutre dans l'environnement immédiat » et que « ce débat se posera un jour au niveau national ». L'avenir lui a donné raison. La législation s'est durcie, en 2016 puis en 2017, en interdisant le vapotage « dans les établissements scolaires et les établissements destinés à l'accueil, à la formation et à l'hébergement des mineurs, dans les moyens de transports collectifs fermés, ainsi que dans les lieux de travail fermés et couverts à usage collectif, à l'exception des locaux qui accueillent du public »[1].
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